Musopen la musique classique Libre

C'est beau non...la musique classique adoucit bien les mœurs....on dit même qu'elle rend les gens aimables et pour d'autres gentils....suivez mon regard de ceux qui en auraient bien besoins !!!!

Moi cela me plait, il faut dire que je l'ai redécouvert dernièrement avec Arthur et que je m’éclate comme un petit fou.

Musopen est un projet un peu fou qui vise a fournir un support libre de partition musicale, mais aussi des enregistrements libres de musique philharmonique.
En effet les auteurs sont souvent mort depuis de longues années, ce qui de droit laisse leurs œuvres dans le domaine publique, pourtant les enregistrements qui en sont fais ne sont pas libres du tout et peuvent revendiquer jusqu'à 70 ans de droit intellectuel.

Le projet musopen visait a trouver 10 000 $ de don pour louer l'orchestre de Prague et ils en ont levé 70 000 $

Bref cela va me laisser de longues heures d’écoute Libre

une brève de numerama expliquant plus en détail !!!

Comment Wolfgang Amadeus Mozart est décédé ???

Moi, je trouve simplement dommage que le format des fichiers soient du MP3 et pas de l'OGG ou du AAC.

Pour un truc Open chose, ça la fout un peu mal.

des emmerdeurs ils n'y en a pas qu'en aveyron....

Une initiative qui fait débat en France

Reste que si l'initiative sera saluée par les partisans des licences de libre diffusion, elle suscite interrogations et critiques chez d'autres. C'est notamment le cas du secrétaire général de l'Hadopi, Eric Walter, qui considère que l'abandon des droits voisins n'est pas nécessairement une avancée, craignant un "dumping" social de la part d'orchestres moins coûteux que d'autres.

Un avis partagé par Benjamin Sauzay, responsable de la stratégie institutionnelle de l'Adami, en charge de la gestion des droits des artistes-interprètes français. Il affirme que les sommes en question ne suffisent pas pour vivre, même si le montant de 68 000 dollars peut sembler conséquent, ajoutant par ailleurs qu'une exploitation commerciale mérite rémunération.

De son côté, le président de Wikimédia France, Rémi Mathis, note que pour faire entrer de la musique dans le domaine du libre et par conséquent permettre d'une part la diffusion légale des titres concernés et autoriser l'intégration de tout ou partie de la musique dans une oeuvre composite, il n'existe manifestement aucun autre moyen. D'autant qu'il s'agit d'un financement du public pour le public, fait-il remarquer.